George-Alain (suite) | |||
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Il s’en approcha en ayant un peu de difficulté car
son manteau était devenu très lourd,
mais il ne s’en préoccupa pas. Il trouva une
minuscule porte où il entra et vit des milliers
d’escaliers qui dessinaient un labyrinthe.
Il ne savait pas lequel prendre. Comme il fallait se
décider, il s’approcha d’un escalier,
mais le manteau devenait de plus en plus lourd. Il ouvrit la porte qui
était au bout de l’escalier, et vit une
énorme flamme qui l’entraînait vers
elle. Il réussit à refermer la porte. Ouf !!!
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Il avait failli y rester ! Et pâme ! La porte par
où il était entré
s’était refermée. Maintenant, il
était obligé de trouver la bonne porte. Gigi
s’emporta et dit :
« Saperlipopette de
barbichette de bouc !! »
Et d’un coup, le manteau disparut, mais il le sentait
toujours sur lui. Alors, il se souvint que le manteau pouvait
être invisible. Il se sentit fier et heureux
d’être en possession d’un manteau avec
autant de pouvoir. Puisqu’il avait trouvé la
formule il pourrait s’en resservir. Il se rappela aussi que
le manteau devenait très lourd quand il se trompait, donc il
pensa que le manteau était une sorte d’alarme. Il
s’approcha prudemment d’une autre porte mais comme
le manteau devenait très lourd, il en choisit une autre.
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